Et toi et moi, séparés par la musique et les gémissements,
en vivant dans un monde qui ne nous appartient pas,
révélons les sillons du temps dans nos âmes.
(Les fleurs et les prairies)
1
Ne m'appelle pas la nuit
silencieuse de ton manteau et ton oubli,
ne me laisse pas rêver avec la lumière de l'aube
qui voyage à travers l'étoile avide qui t'éclaire,
pour la plainte errante
d'un homme persécuté
qui me rend toujours visite quand je pense à ton âme
avec la grimace suppliante d'un monstre tourmenté.
2
Je navigue dans les chants profonds dte terre
qui annonce notre passage
et mord sa fatigue dans les jasmins,
dans des châteaux de cartes en larmes,
parce que je veux te bercer dans ma mémoire
de la fille de lumière qui montre ton sourire à
travers les rues
qui nous ont vu passer et ont caché ta silhouette dans
leurs jupons,
parce que je veux ressentir
que tu as vécu dans le front
la blessure pénétrante du rêve qui germe dans mon
regard,
les géraniums qui ne vibrent qu'avec ta présence.
Je navigue dans les chants profonds de cette terre
qui annonce notre passage
et mord sa fatigue dans les jasmins,dans des châteaux de cartes en larmes,
parce que je veux te bercer dans ma mémoire
de la fille de lumière qui montre ton sourire à
travers les rues
qui nous ont vu passer et ont caché ta silhouette dans
leurs jupons,
parce que je veux ressentir
que tu as vécu dans le front
la blessure pénétrante du rêve qui germe dans mon
regard,
les géraniums qui ne vibrent qu'avec ta présence.
3
La voix de ton parfum s'est déversée dans les portails,
se propage dans le quartier
où plus personne n'écoute la plainte
toujours vivant aux yeux de Billie Holiday,
ni la veine perdue de Paul Simon qui suit
gratter les murs dans les vers sans rythme
de ton sentiments,
ni la chaîne attachée aux chemins tortueux d'une
prière qui ne trouve pas sa parole et culmine en ton nom,
dans une vieille solitude qui ne vieillit pas
alors que nous traversons la frontière
avec un message sans destination échoué dans l'éclat
de ton regard,
dans les soleils heureux qui brillaient et nous
souriaient avec tristesse.
La voix de ton parfum s'est déversée dans les portails
se propage dans le quartier
où plus personne n'écoute la plainte
toujours vivant aux yeux de Billie Holiday,
ni la veine perdue de Paul Simon qui suit
gratter les murs dans le vers sans rythme
de tes sentiments,
ni la chaîne attachée aux chemins tortueux d'une
prière
qui ne trouve pas sa parole et culmine en ton nom,
dans une vieille solitude qui ne vieillit pas
alors que nous traversons la frontière
avec un message sans destination échoué dans l'éclat
de ton regard,
dans les soleils heureux qui brillaient et nous
souriaient avec tristesse.
Así voy yo, borracho melancólico, guitarrista lunático, poeta, y pobre hombre en sueños siempre buscando a Dios entre la niebla. (Antonio Machado)
jueves, 19 de septiembre de 2024
Un monstre tourmenté
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Debo tener en cuenta lo que me dijiste algún día y no escuchar tu silencio de ahora.