jueves, 19 de septiembre de 2024

Un monstre tourmenté



Et toi et moi, séparés par la musique et les gémissements,

en vivant dans un monde qui ne nous appartient pas,

révélons les sillons du temps dans nos âmes.

(Les fleurs et les prairies)




 

 

1

Ne m'appelle pas la nuit

silencieuse de ton manteau et ton oubli,

 

ne me laisse pas rêver avec la lumière de l'aube

qui voyage à travers l'étoile avide qui t'éclaire,

pour la plainte errante

d'un homme persécuté

qui me rend toujours visite quand je pense à ton âme

avec la grimace suppliante d'un monstre tourmenté.

 

 

2
Je navigue dans les chants profonds dte terre

qui annonce notre passage

et mord sa fatigue dans les jasmins,

 

dans des châteaux de cartes en larmes,

parce que je veux te bercer dans ma mémoire

de la fille de lumière qui montre ton sourire à

travers les rues

qui nous ont vu passer et ont caché ta silhouette dans

leurs jupons,

parce que je veux ressentir

que tu as vécu dans le front

la blessure pénétrante du rêve qui germe dans mon

regard,

les géraniums qui ne vibrent qu'avec ta présence.

Je navigue dans les chants profonds de cette terre

qui annonce notre passage

et mord sa fatigue dans les jasmins,dans des châteaux de cartes en larmes,

parce que je veux te bercer dans ma mémoire

de la fille de lumière qui montre ton sourire à

travers les rues

qui nous ont vu passer et ont caché ta silhouette dans

leurs jupons,

parce que je veux ressentir

que tu as vécu dans le front

la blessure pénétrante du rêve qui germe dans mon

regard,

les géraniums qui ne vibrent qu'avec ta présence.

 

 



3



La voix de ton parfum s'est déversée dans les portails,

se propage dans le quartier

où plus personne n'écoute la plainte

toujours vivant aux yeux de Billie Holiday,

ni la veine perdue de Paul Simon qui suit

gratter les murs dans les vers sans rythme

de ton sentiments,

ni la chaîne attachée aux chemins tortueux d'une

prière qui ne trouve pas sa parole et culmine en ton nom,

dans une vieille solitude qui ne vieillit pas

alors que nous traversons la frontière

avec un message sans destination échoué dans l'éclat

de ton regard,

dans les soleils heureux qui brillaient et nous

souriaient avec tristesse.

La voix de ton parfum s'est déversée dans les portails

se propage dans le quartier

où plus personne n'écoute la plainte

toujours vivant aux yeux de Billie Holiday,

ni la veine perdue de Paul Simon qui suit

gratter les murs dans le vers sans rythme

de tes sentiments,

ni la chaîne attachée aux chemins tortueux d'une

prière

qui ne trouve pas sa parole et culmine en ton nom,

dans une vieille solitude qui ne vieillit pas

alors que nous traversons la frontière

avec un message sans destination échoué dans l'éclat

de ton regard,

dans les soleils heureux qui brillaient et nous

souriaient avec tristesse.

 

 


 

 

 

 

 

No hay comentarios:

Publicar un comentario

Debo tener en cuenta lo que me dijiste algún día y no escuchar tu silencio de ahora.