Ne viendront pas les pingeons,
ni les
volatineros
de la Place
d'Espagne
qui guiderant ta
joie
à l'église
sans nom.
La rosée ne
viendra pas
nichée dans
tes lèvres,
perdue dans
ton insomnie
pour te
dénicher
de la mort que
tu portes
sur la
poitrine attrapée.
Le mot ne
viendra pas
à te chercher
sans chance,
pas même le
murmure de la mer
qui a acculé
ton arôme,
ni l'air même absorbé
qui bouge dans
tes rideaux
qui te font
une capa
qui tremble
dans tes mains
de la dernière
splendeur.
Plus jamais le
torerito
l'après-midi
se terminera
qui traverse
la plaie
du mois de mai à tes yeux.
Plus jamais
d'applaudissements
se rouleront
dans le sable
parce que
c'est toujours sans but
un chagrin
indestructible.
L'âme d'Arlequin
je vais le garder
pour que tu me sentes
comme si c'était un lys,
comme si je me réveillais
dans tes jardins stériles
pour faire rire
de rêves et de prairies.
Les pigeons ne viendront pas,
le mot ne viendra pas
ni le désert qui gémit
sur ton amour blessé,
pas un souvenir d'ombres
dans tes yeux de lumière.
Mais mon âme s'envole
pour enterrer la mort.
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Debo tener en cuenta lo que me dijiste algún día y no escuchar tu silencio de ahora.